En savoir un peu plus sur moi,

avant notre première séance

Mon approche

Pour vous accompagner, je m’appuie sur une approche GLOBALE tenant compte :

  • de vos croyances erronées ou limitantes. Je vous aide à en sortir petit à petit.
  • de votre équilibre alimentaire & de votre hygiène de vie. Je vous (re)donne des outils concrets et simples pour (re)devenir autonome rapidement dans vos choix alimentaires. 
  • de votre corps et de sa bonne santé fonctionnelleJ’utilise l’impédancemétrie (Plus de détails en cliquant ici) en plus de la balance classique.
  •  et de la dimension neuro-émotionnelle. Je peux vous aider à identifier et traiter d’éventuels blocages émotionnels à l’origine de votre problème de poids.

Pour se faire, j’utilise mes connaissances solides acquises en diététique (BTS Diététique: Ecole Forméa Santé & Prépadiet), ma pratique certifiée en DMOKA® (Méthode française de l’EMDR), le décodage biologique, la Micronutrition, et des ateliers pratiques.

Je suis membre du Réseau Pour la Prévention de l’Obésité Pédiatrique (REPPOP38) ainsi que de l’association G.R.O.S et formée à l’éducation thérapeutique du patient (ETP).

Qui suis je ?

Je pense qu’il est normal et important que vous en sachiez un peu plus sur moi avant que l’on ait notre premier rdv ensemble.

  • Je suis passionnée par l’équilibre alimentaire gourmand, c’est à dire par tout ce qui entoure l’alimentation, la santé et la gourmandise. Curieuse, j’aime tester de nouvelles recettes. J’aime également essayer de nouvelles activités physiques. 

  • Je n’ai pas toujours été diététicienne. Il y a quelques années, j’accompagnais des acheteurs à trouver le meilleur financement dans le but d’acquérir un bien immobilier.

  • Si je suis devenue diététicienne, ce n’est néanmoins pas un hasard. Mon histoire personnelle m’a conduite à exercer ce métier avec passion et à approfondir mes connaissances. Mon rapport à la nourriture n’a pas toujours été simple à gérer.
  • En effet, Il y a 8 ans, le diabète de type 1* est entré dans la vie de mon fils (dans la mienne aussi du coup !). Les tentatives d’hyper-contrôle désespérées et l’anxiété chronique autour de la nourriture pendant les premiers mois de la maladie ont tout simplement fini par retirer tout plaisir à manger.

Je sais aujourd’hui que pour aller mieux dans son corps et dans sa tête, un simple recadrage de l’assiette n’est pas adapté, bien au contraire.